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Exprimanoo débarque en Guadeloupe !

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Depuis octobre 2008 Exprimanoo permet aux réunionnais de s?exprimer librement sur un support web 100% indépendant et gratuit. En effet, Exprimanoo, 1er média participatif de l?Océan Indien, a récolté en moins de 6 mois près de 300 articles que déposent chaque jour des rédacteurs indépendants et citoyens.

Fort de ce succès, Exprimanoo est sorti à la Réunion le 1er avril en journal papier gratuit tiré à 20 000 exemplaires et distribué dans les stations services de l?île. Notre but, en offrant en plus du site internet un format papier aux réunionnais, est de fédérer le plus possible de rédacteurs, c'est-à-dire de citoyen comme vous afin de leur offrir la parole, qu?ils puissent enfin s?exprimer librement sur les thèmes de leur choix.

 

Nous avons également décidé au 1er avril d?élargir Exprimanoo à tous les DOM français ! C?est pourquoi ce site internet participatif réunionnais va également ouvrir ses portes à la Guadeloupe. Le but est le même qu?à la Réunion : Devenir un haut parleur de la libre expression.

 

Concrètement, tout le monde peut s?inscrire gratuitement sur Exprimanoo et commencer à publier des articles. La Rédaction d?Exprimanoo valide ou non à priori la publication d?un article. Elle ne modifiera pas son contenu, sauf éventuellement le titre afin qu?il définisse au mieux le sujet de l?article. De même, chaque article peut-être rédigé dans la langue originale du pays du rédacteur (également en créole réunionnais) si ce dernier publie à la suite la traduction exacte en langue française.

Une fois l?article publié, il peut être commenté et noté librement par les internautes. Les commentaires sont automatiquement validés et apparaissent sur Exprimanoo à la suite de l?article auquel ils font références. Cependant, un lien « signaler un abus » permet aux internautes d?alerter la rédaction d?Exprimanoo sur un éventuel débordement des commentaires.

 

Chaque rédacteur peut également compléter sa fiche avec une biographie qui le présente aux internautes, ainsi qu?un lien vers son propre blog ou site internet. Cela permet à tous les rédacteurs de se faire connaître, et de permettre aux internautes de le découvrir de manière plus approfondie.

 

Côté ergonomie, le site se veut clair et intuitif. L?internaute peut découvrir dés la page d?accueil l?article à la Une du jour, ainsi que les dernières parutions. De même, il peut voir les acteurs du jour (les rédacteurs ayant publié un article), les articles les mieux notés, les plus lus, les plus commentés, ainsi qu?une liste des derniers commentaires. Un sondage également est proposé, ainsi que la possibilité de s?abonner la Newsletter du site.

 

Un petit plus proposé par Exprimanoo est la possibilité de faire votre propre page d?accueil : chaque cadre d?une même colonne peut être déplacé dans la page, ou même être fermé si son contenu ne vous intéresse pas. A votre prochaine visite, la page d?accueil aura gardé en mémoire les modifications que vous aurez ainsi apportées.

 

Toute l'équipe d'Exprimanoo espère que notre journal participatif trouvera son public également en Guadeloupe. Mais notre devise ne dit-elle pas : "Tout le monde à quelque chose à dire !" ?

 

 

RFO Télé Réunion parle d'Exprimanoo


RFO parle d'Exprimanoo
envoyé par Exprimanoo

 

 

Making Off du journal papier


Exprimanoo
envoyé par Exprimanoo

 

 

Auteur : Redaction
Catégorie : Médias
Publié le 01 avril 2009 à 19:59:41
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L’esclavage est de retour ou presque

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Enfin ne pas paniquer . Il s?agit tout simplement de déclarations de certains footballeurs professionnels qui menacent de faire grève les 24 25 et 26 Octobre pour protester contre la réforme du conseil d?administration de la ligue de football professionnel.

En effet les présidents de clubs désirent une réforme de la ligue afin d?obtenir plus de pouvoir c?est-à-dire la majorité des 25 voies au sein du conseil d?administration. Notons que cette demande de réforme a reçu l?aval de Bernard Laporte le secrétaire d?état aux sports, d?où la crainte des joueurs.

Le syndicat des joueurs pros, entraîneurs, arbitres, administratifs et médecins a appelé à la grève des joueurs pour les 24, 25 et 26 Octobre

Beaucoup de joueurs sont syndiqués mais il n?est pas encore certain que la grève puisse avoir lieu car on imagine une très forte pression des présidents sur leurs joueurs

Néanmoins le syndicat avec ses co- présidents Philippe Piat et Sylvain Kastendeuch, entreprend une tournée des clubs afin de faire passer le message aux joueurs, avec des fortunes diverses car on ne les laisse pas toujours entrer comme à Marseille par exemple.

On a l?impression que les joueurs en activité n?osent pas trop se mouiller dans cette affaire mais l?on peut toutefois noter quelques réactions :

Rémi Vercoutre, le gardien de but remplaçant de l'OL et porte parole des joueurs a assuré du soutien du vestiaire lyonnais : «On est prêts à suivre le mouvement, assure Vercoutre. Et une grève, ça veut dire qu'on ne jouerait pas !»

 

« Dans le foot, on est solidaire. S'il faut en arriver là, nous ferons grève », estime pour sa part le gardien du PSG Mickaël Landreau. Celui-ci pense toutefois que des accords devraient être trouvés avant d?arriver à une telle situation. « On veut être respecté et garder la maîtrise de notre carrière », ajoute son coéquipier Rio Mavuba. il faut que l'on montre que l'on est là et qu'on existe »

Et d?autres réactions diverses comme :

Contre une «OPA lancée sur le football professionnel» Les présidents feront de nous ce qu?ils voudrons, notamment des esclaves.

Et la meilleure pour la fin : Nous risquons de devenir les smicards du football Européen

Grève ou pas grève, je ne pense pas que ce soit là l?essentiel. Comment est il possible même si l?on aime le foot de se lamenter sur le sort de ces privilégiés qui font de leur passion (en tout cas au début de carrière) un métier des plus grassement rémunéré . Mais ceci peut largement faire l?objet de beaucoup de commentaires.

Auteur : Gége
Catégorie : Sport
Publié le 10 octobre 2008 à 00:34:55
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France : Budget de l’Elysée 2009 : une contradiction totale avec la réalité économique

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Depuis mercredi 15 octobre, le budget 2009 de l?Elysée à été annoncé : c?est simple, ça tient en un chiffre : 11.45 % d?augmentation ! Baisse du pouvoir d?achat, moral des ménages au plus bas, grave crise économique, plan de relance de 360 milliard pour les banques, tout ce qu?on nous rabâche depuis maintenant des mois ne semblent pas réellement atteindre nos dirigeant, Nicolas Sarkozy en tête.

C?est donc une augmentation de 11.45% du budget 2009 par rapport au budget 2008 qui a lieu, soit 122.33 millions d?euros. Le député PS René Dosière dénonce ni plus ni moins « le gouffre entre les promesses de transparence et d?économies formulées par Nicolas Sarkozy et la réalité ». Il poursuit : « Une hausse de 11,5%, c'est une progression très forte, 6,3 fois supérieure au budget de l'Etat. A ce rythme, en cinq ans, Nicolas Sarkozy doublera le budget de l'Elysée. Le budget de l?Etat ne connaît pas la crise. »

L?Elysée répond à ces attaques en prétextant que ce budget est « exemplaire de transparence et de bonne gestion » et qu?il ne progresse en réalité que de 2%. Le député René Dosière explique cela par un « tour de passe-passe » : « la présidence réintègre pour 2008 9.2 millions d?euros qui ne seront en fait votés que lors du collectif budgétaire en décembre ».

En outre, ce budget met en avant également une progression énorme de 25.2% des charges de fonctionnement (fournitures, télécommunications, frais de réception, etc?), ainsi qu?une hausse encore plus grave des déplacements de notre Président de +33% (!!)

Le reste du budget constitue les dépenses de personnel, soit 1 031 personnes pour 70 millions d?euros ! Selon le député Dosière, cela correspond à une celle d?une ville de 100 à 150 000 habitants !

Il note également que la rémunération des 98 contractuels de la présidence progresse de "20% après 26,8% en 2008". "Décidément, les collaborateurs du président ne connaissent pas de problème de pouvoir d'achat", ironise-t-il.

De plus, et là on navigue en pleine quatrième dimension, le député PS Dosière a tenté de savoir exactement combien de fonctionnaire étaient mis à disposition de l?Elysée. Selon l?Elysée il est de 872, et selon les ministères il est de 722. "Malgré de multiples demandes, je ne sais toujours pas d'où viennent ces 150 clandestins"

Pour conclure, laissons la parole à René Dosière : "Jamais le budget de l'Elysée n'a été présenté d'une manière aussi opaque et inexacte alors qu'il augmente à un rythme inhabituel en période de récession. Dans ces conditions, l'Elysée doit revoir sa copie"

Auteur : Runaway
Catégorie : Politique
Publié le 03 janvier 2009 à 08:09:26
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Cours d’anglais et cours de maths sous haute surveillance !

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Le vendredi 4 avril, Xavier Darcos et Michèle Alliot Marie ont exprimé leur intention d?équiper plusieurs établissements scolaires de caméras de surveillance. Il s?agit notamment de lutter contre la violence et les intrusions dans des collèges et lycées sensibles. A terme, les cours de maths, les cours d?anglais ou de français pourraient être placés sous haute surveillance.Depuis plusieurs années, la violence scolaire est en nette hausse dans les établissements scolaires. Intrusions de personnes extérieures, agressions d?enseignants, sans compter la violence entre les élèves. Les mesures pour lutter contre la violence se multiplient.

Les cours de maths et des cours d?anglais deviendraient-ils dangereux ?

Michèle Alliot Marie et Xavier Darcos souhaitent équiper 120 établissements sensibles de caméras de vidéosurveillance reliées à des postes de police. Le ministre de l?Education Nationale explique que 15% de la violence dans ces établissements est le fait de personnes extérieures. C?est pourquoi ces caméras seront posées dans des lieux stratégiques, notamment dans les cours des établissements. Pourtant, force est de constater que les cas d?agressions les plus sévères se passent à l?intérieur-même des classes. On se rappelle par exemple de l?agression d?une enseignante durant son cours d?anglais par une personne extérieure en septembre dernier ou de l?agression au cutter d?un professeur durant son cours de maths.

Un nouveau en cours d?anglais : le policier ?

Face à la violence scolaire, la surveillance constitue également la stratégie adoptée par l?académie de Versailles. Il s?agit toutefois d?une toute autre forme de surveillance. Elle met les élèves directement en contact avec des représentants de la Police. Vendredi 27 mars, l?académie (qui couvre quatre départements d?Ile de France) a annoncé la création de 160 postes de policiers-référents dans une vingtaine d?établissements prioritaires pour la rentrée prochaine.
L?ensemble de ces mesures devraient avoir un effet de dissuasion selon l?académie. En attendant leurs applications, les cours se passent dans de telles conditions dans certains établissements que les élèves doivent souvent avoir recours à des cours de soutien scolaire : des cours d?anglais ou des cours de maths le plus souvent. Ils tentent par ce moyen pour garder un niveau correct et pour ne pas se fermer de perspectives d?étude et de carrière malgré le difficile environnement dans lequel ils s'instruisent.

Auteur : clara13
Catégorie : Société
Publié le 07 mai 2009 à 19:50:20
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Formation professionnelle : le Fiso enfin mis en place

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Le Fiso (fonds d?investissement social) a été mis en place vendredi 10 mars. La création de ce fonds avait été annoncée par Nicolas Sarkozy le 18 février dernier, lors du sommet social entre les partenaires sociaux et le gouvernement. Il servira à financer des actions sociales en faveur de l?emploi, de la formation professionnelle et de la reconversion professionnelle pendant toute la durée de la crise.

Fiso : financer la formation pour éviter le licenciement

La CFDT est à l?origine de la création du Fiso. Suite aux protestations sociales du 29 janvier dernier, elle avait négocié la mise en place de ce fonds avec le gouvernement. Il a été accepté le 18 février lors du sommet social.

Le Fiso devrait permettre de faciliter l?accès à la formation professionnelle dans les entreprises en difficulté. Les sociétés les plus touchées par la crise pourront envoyer leurs salariés en formation grâce à l?argent de ce nouveau fonds. Plutôt que d?être licenciés, ces derniers seront mis au chômage partiel. Ce type de mesure instaure ainsi une forme de partage du travail et de solidarité pour limiter les effets de la crise. De plus, la formation professionnelle devrait pouvoir faciliter la reconversion pour les salariés travaillant dans des secteurs dont l?avenir semble être compromis.
Pour financer le Fiso , l?Etat s?engage à verser 1,5 milliards d?euros dont 200 millions uniquement consacrés aux jeunes. Les syndicats et le patronat, quant à eux, devraient prochainement apporter une enveloppe de l?ordre de 500 000 euros.

La formation professionnelle : un enjeu important en temps de crise

La formation professionnelle constitue un enjeu important en période de crise. En France, la mise en place du Fiso devrait permettre de réduire le nombre de licenciements. La formation permet également de préparer l?après-crise. D?une part, parce qu?elle permet aux salariés des secteurs qui n?ont plus d?avenir de se reconvertir. D?autre part, parce qu?elle prépare cadres et dirigeants à anticiper la fin de la crise et la reprise de la croissance. Désormais, nombre de centres de formation leur proposent d?ailleurs des formations spécialement élaborées pour apprendre les outils de gestion indispensables à tout manager qui doit faire face à la crise.

Auteur : clara13
Catégorie : Politique
Publié le 07 mai 2009 à 19:52:26
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France : Jego les pouces verts

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Il y en a qui devrait prendre exemple sur Yves Jégo, Secrétaire d?Etat à l?Outre-mer, notre Président en premier. Lors d?une visite à Wallis et Futuna, ce dernier à offert une enveloppe de 50 000 euros pour un programme de reboisement d?une quinzaine d?hectares. Selon Yves Jégo, c?est sa manière de compenser les émissions Co2 que provoquent ses nombreux voyages en avion.

"Cette initiative est destinée à compenser les émissions en carbone de mes 21 déplacements depuis huit mois, soit quelque 350.000 km". C?est donc en ces termes que Yves Jégo décide d?agir, à sa manière, pour lutter contre les émissions de Co2 occasionnés par ses voyages intempestifs. On peut bien évidement critiquer cette mesure peut-être naïve, mais au moins notre Secrétaire d?Etat à l?Outre-mer reconnaît ce problème écologique lié à ses déplacements.

Notre Président Nicolas Sarkozy devrait en faire de même, car un récent article de Terra Economica a indiqué que ses trajets en avion ont dégagés depuis les 11 mois de sa présidence plus de 7 000 tonnes de CO2, soit le total annuel des émissions de gaz à effet de serre de mille français, ou encore les émissions des voitures les plus économes (type Smart) qui auraient parcourut 1750 fois le tour de la Terre !!

De plus, notre cher Président va prochainement changer son avion pour un nouveau encore plus polluant, et donc ces chiffres vont être prochainement revus à la hausse. Nicolas Sarkozy, lorsqu?il parle de l?écologie, tient donc un discourt en total contradiction avec ses actes propres. Il pourrait plutôt investir dans un type d?avion plus économique, et même réduire ses nombreux déplacements.

Toujours est-il que s?il veut reproduire l?exemple d?Yves Jégo, il faudra qu?il choisisse un autre lieu que Futuna qui ne pourra jamais contenir avec sa superficie de 274 km2 assez d?arbres qu?il ne le faudrait pour contrecarrer ses émissions de CO2. La Guyane peut-être ?

 

Auteur : Victor
Catégorie : Environnement
Publié le 17 novembre 2008 à 10:47:24
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Quand le permis de conduire devient un passeport pour la galère !

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Après le bac, le permis est un passage obligé pour rentrer de plein pied et de bon pied dans la vie ! Commence alors une odyssée et je pèse mes mots, pour trouver la bonne auto-école (performante), le bon moniteur (pas trop véreux)  et surtout le bon financeur, parce que cette histoire va nous coûter bonbon et c?est peu de le dire.

Mon expérience personnelle, ou devrais-je dire ma mésaventure m?a poussé  à faire des recherches sur ces écoles d?un autre type, et j?ai appris qu?autour d?elles il régnait si ce n?est un flou artistique en tout cas un vide juridique, dans lequel les petits élèves que nous sommes ou que nous seront vont tomber les pieds joints et sans freiner?

 

Si je  vous demande de me raconter votre expérience auto-écolière, je verrais bon nombre de doigts se lever et vous me direz que vous avez vu fondre vos économies de plusieurs années dans des cours de conduite, des frais d?inscription, des frais de retrait de dossier, des passages successifs aux examens de code et de conduite, etc?

Et je dis halte là !!!

Freinons un peu, mettons le point mort et renseignons nous sur les pratiques de ces chers gérants d?auto-école.

Heureusement pour nous le net regorge de sites, de forums, de sites info pour les consommateurs, nous  n?avons plus d?excuses puisqu?un consommateur averti en vaut deux.

Avant de s?inscrire, de payer des centaines et des centaines d?euros il faut mener une enquête, demander a voir le taux de réussite de l?auto école en question, se renseigner auprès d?amis, de connaissances, prendre le maximum d?informations qui se révèleront salutaires par la suite. Car tout n?est pas à la charge de l?élève, il n?a pas à payer pour retirer son dossier par exemple. Ce dossier est le votre et si on refuse de vous le donner c?est de la détention abusive du bien d?autrui !!!

Les exemples d?abus de la part des auto-écoles à cause d?une ignorance de notre part sont nombreux.

Je pense qu?à termes il faudrait même faire pression sur les instances en charge du permis de conduire, pour que ces derniers changent radicalement leurs méthodes et se mettent du côté de l?élève conducteur et non plus des autos- écoles.

Mettons  la pédale douce et ne fonçons pas dans le panneau.

Car après l?apprentissage, il y a aussi l?examen du permis de conduire, avec toute la joyeuse brochette des examinateurs anxiogènes, mais ça c?est une autre histoire?

 

Auteur : Sylvie P
Catégorie : Société
Publié le 29 juin 2009 à 08:15:11
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l'affaire Clotilde Reiss : Quand le rêve vire au cauchemar

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Nous entendons tous parler depuis deux jours déjà, de l'histoire de la jeune étudiante française : Clotilde Reiss, qui est détenue par les autorités Iraniennes et est accusée d'espionnage !

Voilà que cette jeune universitaire, étudiante en master de politique comparée et qui a d'ailleurs effectuée son mémoire sur l'Iran, se rend dans le pays qui a été le précieux objet de sa recherche, de son travail et de sa réflexion, pour s'immerger dans la culture, mais surtout dans le système éducatif Iranien qui la fascine tant. Elle se rend donc là-bas pour donner des cours de français à l'Université de d'Ispahan, mais voilà que sa « contemplation », sa « fascination » pour la culture du pays, et pour l'un des maillons de ce pays (le système éducatif) va la mêler à une sombre page de l'Histoire et va la conduire tout droit vers un cauchemar dont elle ne connaît pas encore l'issu.

J'ai une pensée toute particulière pour ceux qui décident d'aller réaliser leur rêve et qui vont à l'étranger s'immerger dans une autre culture, qui vont à la rencontre du monde, qui vont travailler et apporter leur savoir à d'autres. Saluons le courage de ces personnes qui tentent l'aventure, saluons leur force de caractère et leur détermination.

J'ai aussi une pensée pour ceux et celles qui ne reviennent pas, victimes d'un pervers, d'un psychopathe, d'un tueur en série ou autres, victimes de la mort tout simplement sous toutes ces formes ou victime de la  fatalité comme la jeune Clotilde qui se voit aujourd'hui tributaire d'un lourd fardeau, un fardeau politique qu'elle n'aurait jamais pensé endosser lors de son départ de la métropole, un fardeau indiscutablement ridicule que lui ont conféré les autorités Iraniennes en mal de vengeance contre la France qui a dénoncé certaines vérités dérangeantes : «  Fraude » ; Violence qui a causé 20 morts lors le la réélection du président actuel M, Ahmadinejad et bien évidemment la malheureuse volonté de l'Iran de vouloir détenir une arme atomique, sous prétexte de vouloir ériger un programme nucléaire civil.

Voilà autant de points noirs fondamentaux qu'il ne fallait pas accuser, et voilà les raisons pour lesquelles Clotilde est aujourd'hui « kidnappée » si l'on reprend les termes de la langue acérée de Nicolas Sarcozy. Puisse cette langue couper le joug de Clotilde et la rendre saine et sauve à sa famille.

 

Auteur : Sylvie P
Catégorie : Politique
Publié le 09 juillet 2009 à 08:18:00
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J'ai douze ans ...

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Rappelez-vous: "j'ai douze ans", les premiers pas au collège, chez les "grands", la cour de récréation, des professeurs différents, papa et maman qui s'inquiètent. Le bébé n'est pas loin ... et pourtant ...

 

« Haut et court » sera la réponse proposée par notre société à cette délinquance de plus en plus jeune, contre laquelle il faudra de plus en plus se prémunir, eu égard aux difficultés socioéconomiques présentes et à venir. Ainsi, 12 ans semble être l?âge idéal pour emprisonner les gamins s?étant mis quelque part en tête de jouer les caïds de quartier.

 

Rappelez-vous, à cet âge-là, vous ou votre fiston rentriez en sixième. C?étaient les premières bousculades dans la cour de récré, les premiers accrochages avec certains « grands » de la classe de 5° ou 4°,  la première engueulade du prof de math ou d?EPS pour manque de sérieux. En résumé, les premières confrontations de la préadolescence en vue de construire sa personnalité. Pour faciliter ce passage, l?appui et/ou l?autorité des parents ont leur importance : arrivé en terminale, « marmaillerie » et « adolescenterie » s?équilibrent. L?adulte n?est pas loin. Cependant, il est des jeunots pour lesquels les choses ne coulent de source : conflits à la maison, refus du système scolaire, influence des copains, les premières sorties nocturnes, les premières insultes, les premières bagarres, les premiers larcins.

 

Le CPE au collège et le gendarme convoquent, réprimandent, expliquent. Un suivi s?avère nécessaire car les parents démissionnent parfois, les professeurs sont dépassés par les effectifs et le nombre de cas difficiles, la police a des affaires plus graves à gérer. Dans la mesure où la loi du plus fort devient la règle, c?est entre 10 et 15 ans que l?avenir du jeune va se jouer. L?éducation, normale pour les uns, spécialisée pour les autres, représente le processus par lequel toutes les sociétés humaines intelligentes et démocratiques avancent et lorsque, historiquement, cette vision et les moyens y afférents font défaut, le système se replie généralement derrière la répression. 12 ans : l?âge où l?on peut enfermer des gosses en prison afin de se débarrasser de cette « racaille » en devenir puisque « génétiquement » les politiques  (et non les scientifiques) n?ont pas peur d?annoncer la primauté de la composante héréditaire !!

 

Compte tenu des conséquences inévitables de la crise et de la fermeture programmée des anciennes casernes, la solution pourrait être de transformer ces bâtiments en prison de marmailles et d?installer aux quatre coins quelques potences, juste pour faire peur ? et rassurer le bourgeois qui sommeille sur les bancs de l?Assemblée ou du Sénat. On finira bien par les dompter, les dresser, ces jeunes de quartier !!

 

 

 

Auteur : fique
Catégorie : Société
Publié le 01 décembre 2008 à 06:53:45
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L'enfer c'est les autres : La nuisance olfactive

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On parle souvent de nuisance sonore, mais je pense qu' il est important de signaler ce que j'appelerai : la nuisance olfactive. Parce qu'elle existe, elle est là, et elle fait partie du manque de civisme dont peuvent faire preuve les gens de  notre entourage. Le premier réflexe pour certaines  personnes serait de faire preuve de xénophobie pour ne pas dire faire preuve de racisme en incriminant un certain type de personne...d'autre accuse souvent le coup, en mettant en avant les jeunes qui ne savent pas respecter le monde...

Mais pour avoir vécu ci et là et avec divers groupes comme voisin et de tout âge je peux vous dire, que celui qui peut manquer gravement de civisme sont des gens comme vous et moi ! Mais sûrement pas moi ! Je plaisante, mais quoique non! Bref.
J'ai vécu pendant mes années universitaires au CROUS et j'étais vraiment stupéfaite en arrivant de voir à quel point les autres personnes ne savaient pas tenir le bâtiment propre et agréable, entre  les « vomissements » d'alcool, les toilettes dont je vous passe la description, j'ai eu droit à des voisins et voisines qui faisaient non seulement du bruit à toutes heures de la nuit, mais j'avais en prime l'odeur nauséabond de poubelles et de chaussures qui émanaient des chambres! Alors mes années Crous je ne les oublierais jamais!
Ensuite, en partant je me suis dis que jamais je ne retrouverai ce foutoir ailleurs, que c'était sans doute la jeunesse, le fait que c'est une première sorte de liberté que le jeune a après son bac et qu'il se fout un peu des règles mais, au jour d'aujourd'hui je me rends compte que ce que je pensais était une grossière erreur. Et que ce manque de civisme pouvait se retrouver partout. J'ai donc fait appel à une agence, je suis allée visiter plusieurs bâtiments et j'ai finalement opté pour un coin où j'ai à peu près tout à côté, centre médical, pharmacie... Soit, J'emménage et tout va à peu près bien, mais après deux mois, voilà que tout vire au cauchemar, j'ai au moins cinq voisins dans mon couloir qui semblent manquer d'hygiène. Il y en a qui ont des chats, qui ne changent pas la litière de ces derniers, qui laissent leurs ordures  macérer... toute une symphonie d'odeurs de détritus et d'excréments qui ont fait la joie des cafards, et qui ont fait que ces sales insectes ont voulu colonisés mon appartement  Inutile de vous dire, la honte occasionnée lorsque je reçois des proches, et que certains me font des remarques gênantes du genre : «  c'est une vraie porcherie ton couloir »! Je me suis dis à un moment, que peut être ces personnes là étaient en voyage car je n'entendais guère de bruit...et qu'à leur retour ça passerait. Mais rien ! Je suis donc allée voir le concierge, me plaignant des odeurs, et il m'a confier qu'il avait laissé un mot et qu'après il ne pouvait rien faire car c'etait au sens du civisme de jouer quand on a un appartement, il m'a dit de faire un courrier à l'agence pour me plaindre et d'appeler, mais rien n'y fait.
Quelle honte je trouve d'intégrer un logement et de ne pas savoir respecter les autres. Respecter les règles d'hygiène et de vie en communauté. Ah ce qu'elle est belle la vie en communauté !

Auteur : Miss 971
Catégorie : Société
Publié le 20 juillet 2009 à 09:53:38
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